Depuis cinq cents ans, le roman “Le songe de Poliphile” inspire archéologues du langage, amateurs d’art et découvreurs de partages différents…
Un éclaireur qui, malgré son âge, reste étonnamment vivant et complice pour ceux qui aspirent à rester des veilleurs…
Le dauphin enroulé autour d’une ancre, emblème de son imprimeur vénitien, Aldo Manuce, provient d’une pièce de l’empereur Titus que Pietro Bembo lui aurait remise avec cette devise devenue célèbre et relevée par le grand Erasme de Rotterdam :
FESTINA LENTE, hâte-toi lentement…
Une devise pour vous inviter à partager ce blog…
“Poliphile” ?
Le nom du personnage central de ce roman, signifie “en quête de la sagesse” : il s’agit d’un être qui dirige le parcours de sa vie au gré des découvertes que sa curiosité place sur son chemin, guidé par le désir d’aimer et la passion de traduire les œuvres humaines du passé.
Il évoque une manière de vivre le présent en s’ouvrant aux futurs imprévus et aux rencontres insoupçonnées… Une manière de préserver la liberté au travers de son regard et de son penchant à la résistance… Une attitude…
Un voyage auquel se destine ce blog…
* Un olivier dont plusieurs branches sont écotées.
La devise, “Noli altum sapere” (lettre de Paul aux Romains, XI.20),
signifie “ne t’abandonne pas à l’orgueil”.