Un auditeur particulièrement attentif à la conférence que je donnais à Cadalen en 2012, me remit ces deux articles évocateurs d’un excellent souvenir : celui d’un long entretien avec Federico Mayor. J’accompagnais alors Jean-Jacques Récizac, conseiller régional de Midi-Pyrénées, chargé de lui remettre le dossier que j’avais eu l’avantage de réaliser pour préparer l’inscription au patrimoine mondial des chemins de Compostelle en France.
Cette rencontre eut lieu alors que le secrétaire général de l’Unesco recevait à Toulouse les insignes de Docteur Honoris Causa à l’Université Paul Sabatier. Il y prononça un discours très remarqué. En particulier dans son introduction, une splendide définition des “ser” et “estar” suivie d’un hommage à la noble mission de l’Université qui reste bien d’actualité !
Voir aussi : Le discours de Federico Mayor à l’Université Paul Sabatier de Toulouse, le 6 avril 1995.
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